Dégomme et Initiative France
Dans le cadre de ce partenariat, l’association Ilas soutient la création, la reprise ou le développement d’entreprises via des prêts d’honneur à taux zéro et l’accompagnement des bénéficiaires des prêts par des actions de parrainage provenant de professionnels du monde de l’entreprise. La communauté d’agglomération, interlocuteur de proximité, assure, quant à elle, le premier accueil et l’accompagnement du porteur de projet, notamment dans la constitution de son dossier.
Qui peut bénéficier de ce dispositif ?
Quelles sont les démarches à effectuer ? Où doit-on s’adresser ?
En quoi consistent les aides ?
L’attribution de prêts d’honneur à taux zéro, prêt création, prêt reprise ou prêt entreprise innovante constitue une autre forme d’aide. Elle permet au futur créateur ou repreneur de se constituer un appart personnel qui peut lui permettre d’obtenir un prêt bancaire complémentaire.
Troisième forme d’aide : le parrainage, autre accompagnement de proximité assuré par des professionnels du monde de l’entreprise concernant les différents volets de la profession.
Le projet de Dégomme reconnu « remarquable »
Il peut désormais envisager un nouveau développement de son activité, telle la poursuite de la couverture du territoire national et ouverture vers le monde des sociétés de nettoyage afin que celles-ci puissent inclure la prestation dans leur offre de service.
En 2013, après 30 ans d’activités commerciales comme salarié du secteur privé, Tanguy de Mauduit créait, avec ses fonds personnels, Dégomme. Dès 2014, plus de 70 magasins de la grande distribution et autres enseignes nationales décidaient de faire appel à ses services.
« Devant le succès de l’activité, j’ai dû recruter alors un premier technicien sans aide financière mais avec le soutien de ma banque, indique Tanguy de Mauduit, mais pour continuer de répondre à la demande croissante, il me fallait poursuivre le développement de l’entreprise et donc trouver des capitaux qui me permettent d’embaucher et d’acheter le matériel et les véhicules nécessaires » se souvient l’entrepreneur. En 2016, il s’est alors tourné vers la communauté de communes de Pornic, qui l’a accompagné.